» Rêve ta vie en couleur c’est le secret du bonheur » de Walt Disney
Le rêve répond à nos pensées et évaluations quotidiennes. Le rêve répond à ce que nous remettons en question.
Cette partie du sommeil appelé à juste titre le sommeil paradoxal permet une reprogrammation du potentiel génétique humain chaque nuit. Sortis de notre coprs physique, nos corps subtils en croissance reçoivent l’aide de conseillers protecteurs.
Dans l’état de veille nous les percevons par l’intuition. Ce phénomène qui permet le dialogue avec la lumière, c’est le rêve astral. Tandis que le rêve mental est un dialogue avec nous-même et l’entourage. Le sommeil paradoxal est vraiment le lieu d’apprentissage de nouveaux outils pour la psyché.
Contrairement à ce que certains prétendent, le sommeil n’est pas une perte de temps. Chaque nuit, l’adulte de 30 à 50 ans passe une heure et quart à rêver, soit 18 à 25% du temps consacré au sommeil. L’adulte de 50 à 70 ans rêve en moyenne une heure par nuit soit 13 à 18% de son sommeil. Plus on est jeune, plus on rêve et même le foetus reçoit par le rêve les vibrations de l’invisible.
Autrement dit, nous sommes toujours en contact avec nos origines. Et quand nous vivons une période dépressive ou des luttes qui nous forcent à croître, nous rêvons énormément et c’est nécessaire. ET dans ce sens, chaque jour est un nouveau jugement.
Nous sommes libres de reconnaître notre mission de croissance ou de paresser et de continuer dans l’indifférence en donnant priorité au matériel. Tôt ou tard, les comptes s’accumulant, les factures se présentent, elles viennent du grand ordinateur universel. Un des présentateurs, de compte est notre corps. C’est un de nos grands professeurs.
Et n’oublions pas que tous et chacun sommes responsables du destin de la terre.